Suite au billet d'hier, des lecteurs me citent un tas de situations où le Parlement, centre névralgique de l'exercice de la démocratie, s'est vu mêlé à des révoltes, des complots, des règlements de comptes ; comme il a été parfois le théâtre de pitreries grotesques ou de batailles rangées. Mais je crois que c'est à Alger qu'on a vu la situation la plus cocasse quand des parlementaires ont cadenassé le grand portail d'entrée pour empêcher le président élu d'entrer et mettre à sa place un intrus ! Ça peut faire rire certains mais quand on sait que tous ces parlementaires complotistes siègent encore à l'APN... M. F.