Les organisations internationales charg�es de r�guler les turbulences �conomiques sont une protection de fa�ade des tenants du lib�ralisme int�gral La crise qui secoue violemment les pays industrialis�s s'�tendra graduellement � l'ensemble du globe. Du coup, notre pays n'est pas �pargn� des cons�quences qui en d�couleront tant que l'�conomie de march� libre cr�e de graves dysfonctionnements non seulement au niveau des pays riches mais affectera d'embl�e tous les pays y compris ceux, comme le n�tre, disposant de la manne financi�re. Cette derni�re est suppos�e le mettre � l'abri des soubresauts de la b�te � l'agonie que le monde capitaliste a enfant�e. Il est d�montr�, aujourd'hui, que l�OMC, li�e intrins�quement � la mondialisation, a vu le jour pour faire admettre aux pays adh�rents son r�le de contenir les turbulences �conomiques et sociales internationales. C�est une supercherie car l�OMC n'est jamais arriv�e � optimiser un r�sultat pour endiguer les crises ant�rieures. Ceci dit, son inefficience perdurera tant que le lib�ralisme int�gral continuera son d�veloppement d�mesur� gr�ce � son pouvoir illimit� et ses accointances avec les milieux boursiers pour g�n�rer des sp�culations financi�res internationales. A l'instar de l'OMC, le FMI et la Banque mondiale, organisations suppos�es assurer la stabilit� financi�re et �pr�venir les crises financi�res�, ne sont en fait qu'un outil de domination sous la f�rule de l'Occident. L'abandon de la souverainet� �conomique intervient d�s lors qu'un pays, g�n�ralement africain, riche mais pauvre dans sa mis�re, sollicite leur intervention. Ce qui arrive actuellement dans l'Europe des 27, aux USA et d'autres pays connus pour leur boum industriel, est un d�faut de cr�ance �majeur� qui va provoquer dans le cadre de la fameuse th�orie �chute de dominos� un effet encore plus prononc� sur les acteurs li�s entre eux par la dette. Le pouvoir politique dans ces pays de l'Occident qui fait la pluie et le beau temps d�pend enti�rement du pouvoir financier. Pour se sortir d'embarras, comme toujours, ils vont employer les grands moyens pour renverser la crise et reprendre le contr�le apr�s une p�riode de turbulence. Le dispositif se mettra en place par des mesures qui �craseront les plus faibles. Extraits : �Pouvoir politique et les pouvoirs de l'argent� - �La politique des plus noirs desseins� (source : Serge Car). �Le pouvoir politique a toujours �t� li� au pouvoir financier. Mais il ne cherche qu'� s'accro�tre de lui-m�me comme pouvoir, par la domination des hommes et leur asservissement. La souverainet� politique des peuples est un fantasme qu'on doit lui servir pour leur faire croire qu'ils y ont droit dans un r�gime dit �d�mocratique�. On peut d�cliner cette interpr�tation en deux versions : celle du �conspirationnisme et celle du machiav�lisme achev�. - Pour le �conspirationnisme�, cela fait des si�cles que les �forces de l'ombre� manipulent l'humanit�. Les romans dans le style de Da Vinci Codeet le cin�ma. Celui d'une �lite appel�e les �illuminati� qui contr�leraient le pouvoir politique en coulisse, confr�rie occulte cr��e en 1776 par un certain Adam Weisshaupt, se serait perp�tu�e sous la forme de loges. Li�e � la francma�onnerie. Le but serait d'infiltrer tous les secteurs politiques de la soci�t� et de former les esprits � la n�cessit� d'�tablir un nouvel ordre mondial (novus ordo seclorum) qui serait entre les mains des seuls initi�s. Parmi les membres des banquiers internationaux, des industriels, des hommes de science, des politiques d�vou�s, des �conomistes ... Tous auraient souscrit pour gouverner le monde. On citera comme justification les �m�moires� de David Rockefeller qui se d�fend en �crivant : �Quelques-uns croient m�me que nous la famille Rockefeller faisons partie d'une cabale secr�te travaillant contre les meilleurs int�r�ts des Etats-Unis, caract�risant ma famille et moi en tant qu'internationalistes et conspirant avec d'autres autour de la terre pour construire une politique globale plus int�gr�e ainsi qu'une structure �conomique - un seul monde si vous voulez. Si cela est l'accusation, je suis coupable et fier de l'�tre.� Du m�me David Rockefeller on citera encore un discours prononc� en juin 1991, lors d'une r�union de la commission trilat�rale, � Baden Baden : �Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, Time Magazine et d'autres grandes publications dont les directeurs ont assist� � nos r�unions et respect� leurs promesses de discr�tion depuis 40 ans. Il nous aurait �t� impossible de d�velopper nos plans pour le monde si nous avions �t� assujettis � l'exposition publique durant toutes ces ann�es. Mais le monde est maintenant plus sophistiqu� et pr�par� � entrer dans un gouvernement mondial. La souverainet� supranationale d'une �lite et de banquiers mondiaux est assur�ment pr�f�rable � l'autod�termination nationale pratiqu�e dans les si�cles pass�s.� �Le nouvel ordre mondial viserait la r�duction drastique de la population mondiale et manipulerait dans les coulisses l'histoire pour favoriser les destructions, les crises et les guerres. Son ambition serait d'obtenir la jouissance d'un contr�le total sur l'humanit�. Dans cette perspective, la faillite des Etats et le chaos �conomique seraient, de la part des ma�tres du monde, soit directement voulus, afin de permettre une prise de contr�le totale impliquant la vis�e d'un g�nocide de l'humanit� ; ou bien, s'ils ne parvenaient pas � leurs fins, ce serait une politique de la terre br�l�e.� A Chicago, l'�conomiste charismatique (1957), Milton Friedman, �tait en pleine ascension, son credo : c'�tait de d�barrasser le syst�me �conomique de toute intervention, de le ramener � un �tat vierge primordial. En clair, d�structurer les soci�t�s soumises � une ing�rence gouvernementale excessive, pour revenir � un capitalisme pur etc.�. Bob. Med (Belcourt) Un texte � faire passer dans �Vox Populi� ? [email protected] ou [email protected]