Les locataires de pas moins de six immeubles du site Aadl de Bab Ezzouar I sont livrés à eux-mêmes. Une année après la réception du site, soit avec quatre années de retard par rapport au délai de 24 mois prévu, les problèmes commencent à surgir. En sus de l´insécurité qui règne de jour comme de nuit, le site en question s´est transformé en véritable «marché» à ciel ouvert, puisque le commerce informel y a pris pied depuis quelque temps. Plus grave, on fait payer aux locataires, des charges d´ascenseur avant même que ces derniers ne soient installés. Les locataires avaient payé, en effet, ces charges deux mois consécutifs, avant que la direction régionale ne décide de les défalquer des prochaines tranches de location. Cependant la question qui demeure en suspens: va-t-on enfin installer ces ascenseurs? Aux dernières nouvelles, la société concernée aurait quitté les lieux depuis quelques mois. La balle est donc dans le camp de l´Aadl.