L'EN, version 2024, a débuté la grande aventure de la course au trophée de la CAN, par une timide et bonne, tout de même, victoire contre la modeste équipe locale du Togo, vendredi 5 janvier 2024. Si nous n'étions pas un amateur de «gri-gri», nous avancerons plutôt la similitude entre 2019 et 2024. En effet, la grande aventure, 2018, avec Djamel Belmadi avait commencé, au début du «contrat moral» avec le peuple algérien, par une brillante et surtout, convaincante victoire contre le...Togo! Les Algériens dans l'ensemble, sauf pour ceux qui ne se soucient que de leur seul intérêt, gardent une époustouflante confiance en l'avenir de l'EN, et de Djamel Belmadi. C'est pourquoi, la subite annonce du forfait inattendu de l'attaquant polyvalent, Amine Gouiri, n'a pas eu l'effet d'une bombe d'une quelconque catastrophe. N'en parleront que les éternels adversaires du staff opérant sous la conduite du coach national. Ils ont fait de l'absence d'Amine Gouiri, une boule de neige à lancer au visage de Belmadi. D'ailleurs, Djamel-Eddine Belamri, la star du MC Alger a mis les «vers» à nu! Il a demandé aux «partisans du «désordre» de laisser l'EN, travailler tranquillement. «Ça y est la liste a été faite et bien faite!» S'est exclamé l'ancien international mouloudéen. Il l'a fait à double titre. D'abord, en 2019, il a subi, avec une «silencieuse» patience les nombreuses attaques émanant des mêmes «critiqueurs» au nom de la démocratie. Quelle démocratie? Celle des Grecs? Ou bien celle qui ramena Adolf Hitler au pouvoir en 1933? Comment faire du bruit avec rien? Parler sans cesse de coach national, pardi! N'importe quel sujet doit être manipulé, tourné, retourné et mis en branle. Pendant ce temps, des animateurs spécialistes des fake-news, dirigent des débats «cuits-à-point» en vue de nuire à ces empêcheurs de tourner en rond. Les noms des responsables de la FAF, sont évoqués et traîné dans la boue, sans vergogne, pour la simple raison du fort soutien à l'entraîneur national. Ces véritables sangsues du football national iront plus loin: ils ne se gêneront pas d'inviter sur les plateaux, de sinistres individus qui n'ont de sportifs, que leur courte carrière de joueur, ou même d'entraîneurs de pacotille, faisant d'innombrables va-et-vient entre les clubs, généralement en difficulté financière. Remettre en selle la «cavalerie» des Fennecs Et c'est là le comble de l'énormité de l'action de ces chaînes: payer fortement des charlatans venus descendre en flammes Djamel Belmadi! Avouez que c'est là une minable action gratuite. Pourtant, les préparatifs pour un retentissant succès de l'Algérie, ont commencé depuis bien longtemps, en même temps que les multiples tentatives de Djamel Belmadi, de remettre de l'ordre dans la maison. En un mot, remettre en selle la «cavalerie» des Fennecs, en vue d'effectuer un départ en trombe en janvier 2024. Le 1er adversaire des Verts, ne sera autre que la sympathique, et accrocheuse équipe de l'Angola. Evidemment, ce sera pour les initiés un match-piège. Oui, car une équipe qui défend durant la quasi-totalité du match, ne peut que viser un résultat nul, et pourquoi pas, une victoire, qui pourrait avoir lieu, au cours d'une contre-attaque éclair. Mais, nos joueurs sont avertis de tout ce qui pourrait surgir à n'importe quel moment de la partie. Les joueurs entreront sur le terrain, avec le secret espoir de glaner les 3 points, avec une tête «vide» de toute histoire, sortie des «rêves» de ceux qui ne veulent pas de bien au pays. Par exemple, cette très petite histoire devenue «grande» par la faute de ceux-là même, qui creusent un tombeau pour le coach national, n'a pas eu de résultats probants. Oui, Amine Gouiri, un des derniers grands joueurs algériens ramenés à grands petits coups de «tam-tam» pour briller en Afrique, ne sera pas du voyage, car blessé. Oui, ce talentueux joueur est rentré chez lui après qu'il eut contracté une blessure. Les «corbeaux et autres oiseaux de mauvaise augure» ont trouvé là matière à redire, et sont allés jusqu'à inventer une histoire de «je joue titulaire ou rien!» Depuis quand un joueur professionnel formé en Europe, évoluant en Europe, use-t'-il de ce langage? Vous voyez donc, encore une fois que le ridicule ne tue point! Ce fut alors que les plus grands supporters de stériles polémiques du monde tenteront (vainement) de relancer d'inutiles discussions. Le buzz, voilà ce qui motive les mauvais esprits Le cas du grand gardien de but, Wahab Raïs M'bolhi, est encore plus criard. N'a-t-on pas déjà vu de grands gardiens de but, à l'âge avancé, être appelés en Equipe nationale, du moment que ce keeper-goal garde ses meilleurs réflexes? Et puis voilà une mauvaise nouvelle. M'bolhi est touché et blessé. Par prudence, Raïs M'bolhi est vite «doublé» de Mostefa Zeghba. Où est donc le problème? Le buzz, voilà ce qui motive certains esprits mal tournés. D'une tartine à une autre, les montages font guerre commune avec les mensonges, histoire de nuire à qui vous savez. Entre-temps, nos «guerriers» se préparent en silence. Du dernier arrivé, Mostefa Zeghba, au sympathique capitaine Riyad Mahrez, les valeurs sûres, comme Adam Ounas, Islam Slimani, Ahmed Touba, Med-Amine Tougaï, Yasser Laâroussi, Ramiz-Larbi Zerrouki, Rayan Aït-Nouri, Mohamed-Amine Amoura, Houssem Aouar, Youcef Attal, Oussama Benbot, Nabil Bentaleb, Baghdad Bounedjah, Kevin Guitoune -Van Den Kerkhof, Aïssa Mandi, Anthony Mandrea, Hichem Boudaoui, Ramy Bensebaïni, Zinedine Belaïd, Youcef Belaïli, Farès Chaïbi, Sofiane Feghouli, s'attendent à de véritables, épuisantes et farouches empoignades, et sont prêts à toutes les batailles sur le terrain qui saura trancher, loin de toute manigance, d'où qu'elle émane. Que l'adversaire soit un «éléphant», un «lion de l'Atlas, un «crocodile», un «lion, même indomptable», un «écureuil» un «aigle, fut-il de Carthage», ou même «un pharaon», la note sera salée. Nous ne le répéterons jamais assez que l'Equipe nationale fera tout ce qui est en ses possibilités morales et physiques, pour apporter de la joie au peuple algérien. Et avec un panache, une élégance, une manière de bien faire, et un fair-play digne des grandes nations du football. À quoi sert une stérile discussion, sur l'absence de tel ou tel joueur? L'EN a bien évolué et gagné sans Riyad Mahrez? Il en fut de même avec d'autres joueurs de talent, tels les Nabil Bentaleb, Sofiane Feghouli, Ramiz-Larbi Zerrouki, Aïssa Mandi, et même Ramy Bensebaïni, M'bolhi! Sport «Co» par excellence, le football reste un moyen de progression et de rapprochement entre les nations. Chez nous, c'est le rapprochement avec nos frères africains qui nous importent, le plus. Mais les mercantiles et mesquins intérêts personnels, ont fait que souvent, les relations se gâtent; le temps d'un match. Le comble, c'est que les malheurs qui, de temps à autre, frappent les Algériens, proviennent principalement des... Algériens de l'intérieur et de l'extérieur. C'est peut-être la faute aux réseaux sociaux, que les lâches attaques se multiplient, entre des «frères» sportifs, de surcroît, qui ne veulent absolument pas, renoncer à enterrer le tomahawk, et à effectuer la danse de la réconciliation. Lorsque nous entendons et voyons un confrère insulter d'autres confères, nous ne pouvons que flétrir ce genre de comportement de gamins! Un confrère de la valeur du rouquin, Farid Maâtaoui, devrait pousser les plus durs critiqueurs à louer cet immense Monsieur, aux qualités morales intrinsèques, et au gros bagage fourni, pour l'avancée du football national. D'autres journalistes confirmés repoussent les nombreuses invitations sur les plateaux TV, par crainte d'un méchant retour de manivelle, qui fera sans doute plus de mal que de bien au dialogue. Suivre les plateaux TV, est en soi, une bonne chose, car on ne peut critiquer des gens que nous n'écoutons jamais. Cependant, laissez la langue française dans son état premier. On ne dit pas «lessentiel» mais «l'essentiel», comme cette histoire de Clasico! Oui, ce terme ne peut être collé aux fans d'équipes n'ayant jamais joué un «Clasico». Oui, un Clasico oppose deux teams qui ont livré de nombreux matchs en Ligue «1»! Par contre, le derby est une rencontre qui met en scène deux formations d'une même localité. Par exemple, l' ES Sétif/ l'U S M Sétif... le MO Constantine: Csc... l'U SM Annaba /JB Annaba C... Nahd/Kouba... l'US Tébessa / l'ES Tébessa... MC Oran/ASM Oran... CA Batna / MSP Batna, etc.
