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Les contraintes des services et l'absence de réponse aux doléances du public
L'hérédité administrative
Publié dans La Nouvelle République le 11 - 05 - 2025

Je salue, très cordialement, tous les membres de l'équipe de rédaction, les prie de bien vouloir m'excuser d'user de leur temps précieux et les solliciter pour réserver une petite place à ma contribution, dans l'une des rubriques, en les assurant que toutes les précautions ont été prises pour qu'il n'y ait pas d'indice qui pourrait être contraire au point de vue éditorial ou ne nuirait à des intérêts quelconques, afin d'exprimer, en toute honnêteté et quiétude, sur l'hérédité administrative, les comportements d'un certain nombre de dirigeants dans nos administrations publiques, particulièrement, les établissements publics à caractère administratif (EPA), qui souffrent de multiples contraintes, gênant et entravant leur développement à travers le territoire national.
Pour moi, l'honnêteté est un pilier, pas un rigidité, elle prend tout son sens dans la pratique qui consiste à dire la vérité de manière directe mais bienveillante, ce qui n'est pas un dogme figé. La vérité ne signifie pas balancer des choses sans filtre ou encore blesser, sous prétexte d'être sincère. Loin de là, la vérité s'inscrit dans l'éthique relationnelle où l'on choisi ses mots avec soin pour améliorer et construire pas pour détruire.
Je rappellerais, avant tout et brièvement, que j'ai servi un des secteurs publics durant 39 années (1964-2003), en exerçant des fonctions à cinq niveaux de responsabilité : moniteur (1964-1972), chef de service administratif et financier (1972-1979) et directeur d'une unité publique (1979-1992), inspecteur en administration et finances (1992-1999) et enfin directeur de wilaya (1999-2003), membre élu au Conseil supérieur de l'éducation (1996-2000), expert-junior, chargé du volet administratif et financier, dans le contrat d'assistance technique au secteur de la formation professionnelle (2009-2010) avec l'équipe d'intégration Ikesol (UE) et enfin, auditeur libre à l'ONDEFOC-MFEPde Rouiba (2012-2016) et membre du Conseil scientifique de l'INFEP (2021), mis en veille depuis le temps. J'ai, toujours, répondu aux appels de ma tutelle pour l'animation des formations initiales et perfectionnements organisés au profit de l'encadrement-Gestionnaire des Unités, y compris en période de retraite.
Pour information, en 2020, j'ai fait don, au secteur de la Formation professionnelle, à titre gracieux, de 20 guides et manuels de gestion de leurs établissements, ainsi que sept conclusions de recherches menées en matière de gestions administrative, financière, matérielle et technique et pédagogique, également, remises bénévolement. Des reconnaissances et remerciements m'ont été notifiés par écrit, par les ministres précédents du secteur, pour services rendus au secteur.
Mon histoire a commencée avec les appels, que M. le président de la République, que Dieu le bénisse, a lancé aux compétences algériennes ayant l'Algérie dans le cœur. Epris de mon pays, j'ai décidé de mettre mes compétences à sa disposition pour l'assister techniquement, par reconnaissance. J'ai adressé, entre 2021 et décembre 2024, à M. Le précédent ministre du secteur, plusieurs dossiers, sous forme de rapports d'audit sur les contraintes qui empêchent le développement progressif des services déconcentrés et décentralisés du territoire national.
Certains dossiers ont été déposés par plis portés au ministère, d'autres envoyés par voie postale et fax, sans jamais avoir suscité un intérêt, ni mérité de réponse, même négative. Frustré, face au silence incompréhensible de l'équipe centrale imprégnée, profondément, d'autosuffisance et de confiance en soi, je pense, croyant en leurs capacités et au fait de détenir toutes les vérités, n'avaient pas besoin d'aide. Raison qui a motivé l'envoi de doléances aux hautes institutions de la République (Médiation de la République, Secrétariat général et Inspection générale de la Présidence, avec l'espoir que Monsieur le président de la République, que Dieu le couvre de sa protection, soit mis au courant, qu'il y a des Algériens qui ont l'Algérie dans leur cœur (expression à lui) mais qui n'ont ni autorité, ni force d'imposer leur présence dans le projet de construction de l'Algérie nouvelle, j'ai, même, écrit à M.M. Le wali de Blida, le député RND de Blida et le président du parti d'appartenance de M. Le ministre en poste, pour intervenir auprès de ce dernier, peine perdue, aucun n'a daigné répondre. A l'heure actuelle, je ne pense pas que c'est un crime d'avoir voulu assister mon ex-secteur qui m'a formé et permis de capitaliser les compétences et expérience que je pense posséder.
I.- Introduction : Olivier Borlet a dit «faire autorité n'est pas détenir la vérité, mais répondre de sa parole, c'est-à-dire donner sa vision et ses raisons». Je ne mélangerais, jamais, ma voix avec celles de ceux qui critiquent beaucoup, mais proposent peu et prétendre, toujours, détenir la vérité une fois l'orage passé. Connaître la vérité pour mieux comprendre ce qui se passe, prendre des décisions éclairées, instaurer la confiance et la crédibilité dans ses interactions avec les autres. Connaître la vérité nous aide à donner du sens à nos expériences. Le choix de la vérité est utile à la vie professionnelle et sociale et constitue une orientation morale. Il est certain que vant de passer au détail. Donc, aux responsables en postes et au public, de juger mes vaines démarches de février 2021, à ce jour. Tout en espérant, encore, que Monsieur le président de la République soit au courant qu'il existe, réellement, des compétences éprises de leur pays et qu'elles l'ont dans leur cœur, cependant rejetées par ceux censés les attirer et en tirer profit. Pour bannir les défectuosités persistantes dans le fonctionnement d'un bon nombre d'administrations (hérédité administrative, déconsidération des contraintes et défaillantes, information non crédible et changement radical). Ces situations inquiètent car elles se perpétuent.
J'affirme qu'il n'a, jamais, été dans mon esprit, ni n'ai eu l'idée de donner des leçons à quiconque, pour cela, je n'ai ni le droit, ni la compétence. Je ne fais qu'exposer l'état de mon inquiétude pour le Secteur. C'est suite à l'absence de réponse, donc, pensés comme déconsidération des travaux remis, pourtant, dans l'unique souci d'améliorer l'organisation, le fonctionnement, la gestion et par conséquent le développement. Nul ne doit douter que l'objectif principal de mes démarches qui est de passer d'une culture de gestion traditionnelle, basée sur les moyens, vers une culture de gestion tenant compte des changements dus aux politiques de l'Etat et des programmes adoptés comme objectifs prioritaires en matière de formation.
D'ailleurs, bien des experts et chercheurs en gestion, ont démontré que «généralement, lorsque les compétences participent et coopèrent, les expériences se solidifient et les actions tendent au changement et au développement». Malheureusement, la régression avance à petits pas et se conforte au fur et à mesure sur le terrain. N'est-il illusoire de croire aux innovations annoncées, de par la persistance des situations existantes. A mon sens, ce n'est pas un crime de vouloir mettre ses compétences à la disposition du Secteur auquel on a appartenu quatre décennies, qui nous a formé, c'est en reconnaissance de ce qui m'a permis de capitaliser comme connaissances et expertise, pour sa pérennité en faveur des générations futures. Malheureusement, depuis 2021, certains hauts cadres ont repoussé les compétences et verrouillées toutes les portes, se contentant de l'esprit d'autosuffisance et privilégiant la publicité, qui est une fiction, à la réalité qui est une vérité.C'est en parfaite connaissance des situations, causes et effets que je présente l'état des lieux vérifiable. J'insiste que seul l'intérêt du Secteur prime et affirme n'être en compétition avec personne, ni ne veux être meilleur que quiconque.
II.- Hérédité administrative : l'usage nous enseigne une pratique, habituelle, observée, ancrée dans les US administratives et admise. En effet, lors des remaniements ministériels, un bon nombre d'heureux élus accordent une urgence, particulière, avant toute autre action pour prendre en main le nouveau domaine, au remplacement par des nouveaux de même appartenance, affinité ou similitude, non pour rajeunir l'équipe en place, mais à un nettoyage, sans raison apparente, qui signifie élimination, d'anciens Cadres, jugés indésirables, ou sujets à des doutes sur leur probité, peut être pour raison d'importance ou d'intérêt plus que par nécessité d'agir vite.
Cette préférence prouve la faiblesse, car l'hérédité maladive n'est pas définie ou transmise selon des lois génétiques. L'administration, généralement, est caractérisée par le principe de la continuité. Ces anciens cadres, surtout, proches collaborateurs, remplacés par de nouveaux de même appartenance, affinités et/ou similitudes, pouvaient servir de transition (charnières) entre les périodes d'immersion et celle opérationnelle.
A suivre…


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