Les travailleurs du complexe des plâtres de Fleurus, dépendant de l'ERCO, crient au complot dont ils sont victimes par les dirigeants algériens qui tentaient de les priver de leurs droits déjà consignés sur PV d'Huissier. Les faits remontent au 4 juillet 2005, quant la tutelle a décidée de privatiser le grand complexe des plâtres de Fleurus, sans la proposition d'abord aux travailleurs, pour cela la Direction avait en présence d'un huissier de justice proposé aux 156 travailleurs, un pourcentage du prix de cession de l'usine et en même temps consigner ce le même PV, les désirs des travailleurs ceux qu'ils gardaient leur pourcentage en action et ceux qui vendaient au nouveau preneur qui est le groupe Allemand KNAUF. Le 14 mars 2006, le partenaire Knauf rentre en possession de 50 % avec l'ERCO pour une durée de 42 mois, suivant la résolution de cession N 3 du 12 décembre 2005. La direction du complexe pour satisfaire le désir du partenaire étranger, avait proposée outre le pourcentage (10 %) du prix de cession, une indemnité pour tous les travailleurs qui présentaient leur démission. Ainsi que la mise en retraite anticipé et proportionnelle pour les autres. Même certains services d'une grande importance ont étaient dissous et leur effectif mis à la retraîte sans pour autant leur attribuer une indemnité comparable à celle attribuée au pérsonnel démissionnaire. Dernièrement, et dans un silence complet, le partenaire devient acquéreur du complexe à 100 %. Contraire au principe qui stipule que le secteur étatique garde au minimum 30 %.. La Direction Général faisant fi du PV de l'Huissier, a complètement procédée à un changement de la liste des travailleurs. Une procédure illégale dans le but de priver un grand nombre des travailleurs de leur droit au pourcentage.Ce qui a provoqué une polémique et un appel à la Présidence de la République pour ouvrir une enquête. Les travailleurs venaient d'avoir gain de cause après une bataille judiciaire au sujet de leur droit à une indemnité dont ils ont été privés depuis 2002, la justice leurs a donné gain de cause avec une pénalité envers l'employeur de 5000 da jour depuis la date du jugement non honoré par l'ERCO à ce jour. (Copie de tous les documents de cession et PV de l'huissier en notre possession) Une affaire et une bataille qui vient de débuter. Affaire à suivre.