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Les véritables guérisseurs et les personnes non alitées
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Publié dans El Watan le 30 - 07 - 2011

Comme on s'y attendait concernant la mystérieuse épidémie convulsive qui survole le pays, les guérisseurs habituels confirment que les pseudos étouffements de certains malades relèvent de la spasmophilie, elle-même due à l'angoisse du vide existentiel de leurs ventres.
Aucune relation donc avec les voyances hallucinatoires qui évoquent un imaginaire syndrome de l'insuffisance démocratique. Mais, vu que certains délinquants inconscients s'adonnent à des baignades interdites (au large ou dans des bidons), et en prévention des effets du pollen de jasmin, de papyrus et de dattier, il y a lieu d'éviter que les choses s'(in)enflamment. Et, entre autres préconisations «prémunitoires», adapter le régime alimentaire de sorte à mieux nourrir ceux qui rendent malade et ceux qui les soignent, puis faire (crise) mine d'ausculter, pour en endiguer la parasitose, le souffreteux «peuple ventripode» qui fait cette patibulaire grise mine (pas tubulaire du tout) contre l'honorable peuple des ventripotents.
Les personnes non alitées
Comme on le voit, les véritables guérisseurs ne prescriront ni des gélules de citoyenneté totale avec tous les droits et liberlés légitimes (fondé en raison, en droit et en nature), ni de ration de démocratie aussi légitime, encore moins un zeste de contrôle populaire direct renforcé par un consistant conseil constitutionnel élu, ni évidemment une complète proscription du droit de la minorité écrasante et une stricte débureaucratisation des institutions et services de l'Etat, et surtout pas une protection des citoyens contre l'instrumentalisation politicienne de la religion (par les organes et institutions de l'Etat comme par d'autres), mais alors pas du tout de gouvernement décentralisé et encore moins de principes de la représentation citoyenne équilibrée, et surtout pas de loyauté des élus (qu'ils disent et fassent non pas ce que bon leur semble au nom des électeurs, mais ce que ceux-ci leur demandent de dire et de faire en leur nom).
Aux yeux des véritables guérisseurs, ce ne sont là que propos oiseux sinon vaseux, de personnes non alitées, au demeurant trop bêtes ou pas assez intelligentes malgré leur instruction gréco-
latine ; pour preuve, elles se moquent des rendez-vous médicaux et même elles se cachent des guérisseurs qu'elles soupçonnent de vouloir leur mettre la camisole ou les empoisonner jusque dans la foule, un guérisseur gardant ses pouvoirs même hors de son cabinet. Toujours est-il qu'elle est salutaire, cette paranoïa ou mégalomanie qui rend si fiers de ne pas être alités, portant tel Atlas le Monde, «les Idéaux de la Citoyenneté Totale et du Progrès Universel». Et salutaire aussi, cette xénoglossie, qui ne cesse de décrier en grec et en latin un régime tout en «auto, cratie, archie, polito, cide, cybéro, corrupto, philie, etc.» ! Si on suivait leur menu, ce serait l'empoisonnement garanti ou la septicémie généralisée par ingestion inconsidérée d'aliments non certifiés d'origine. La saine diététique voudrait avant le menu principal (pour parler le langage des guérisseurs), que la Nationalité obvienne à tout le peuple, et autrement que dans un passeport, impasse partout pour la majorité, passe-partout pour qui-tu-sais, passe-droits pour les privilégiés, les binationaux opportunistes et la faune de prédateurs et de spéculateurs ploutocrates assaillant sans coup férir les richesses nationales, rivalisant de ruse et d'impudeur (tout ce qui rentre faisant leurs ventres), commerçant du sous-sol, du sol, du bâti, du cati, du décati, du chiffon, de l'air comme de la chanson, de l'enfer comme du paradis, faisant (faire) peut-être même des lois à leur profit (quitte à exposer quelques indus bénéficiaires ou heureux accidentels, notamment parmi les jeunes obnubilés par le chômage).
C'est à croire que dans une sorte de redite de l'Histoire khaldounienne, matérialiste et freudienne à la fois, une horde primitive de marchands nomades fieffés coureurs de fonds font une «accumulation sauvage de capital en liquide» sur des champs (domaines) quasi féodaux tels des fiefs de barons et de commensaux établis par la grâce du souverain mâle dont ils activent à renforcer le siège total contre la Citoyenneté. Cependant que la jeunesse s'immole dans les flots inflammables et ininflammables, reprenant en boucle les anciennes complaintes du triste et dramatique exil connu de leurs aînés il y a plus de soixante-dix ans, mais hélas toujours d'actualité ... Dans un quasi no man's land pour la vertu, qui n'aurait de République que l'intitulé, acquis à la double nationalité effrénée, et de plus en plus tribalisé jusqu'aux clans, leurs «totems et tabous et gourous et sorciers et druides». Aussi, la force brutale et la violence en toutes formules sont désormais en passe d'évincer la justice et le droit en même temps que l'élite intellectuelle (marginalisée, intimidée, bastonnée, terrorisée, sinon supprimée pour de vrai), rappelant qu'il reste toujours à réaliser le glorieux serment de l'hymne national «jurant par les tempêtes ... »(1).
Personnes non alitées, entre la dictature et la bureaucratie ...
Outre les «néo-corsaires» mus par le gain facile et la rapine, la moins pathogène des instituions du pays ne serait pas son armée administrative. C'est-à-dire l'administratiou, comme disent les gens eux aussi presqu'en latin et en grec («administratio», formé de «ad» signifiant «pour» et de «ministratio» signifiant service, aide, soin d'une chose, conduite, etc. que les Grecs désignent par «oikonomia», limitée dans l'antiquité à l'intendance domestique de la maison, la surveillance et la gérance de propriétés des tiers, etc.). C'est une fonction (honorable au demeurant), organisatrice et normative de la vie communautaire, des activités et relations internes et externes, d'un corps social (Etat, institution ou entreprise), en vue, dit un article de Wikipédia, de «soumettre une structure hiérarchique à la société, dans le but de veiller à sa prospérité» (rien
moins !), on en attend logiquement une organisation définie en rapport et autour de rôles et missions (nobles par ailleurs), de buts et objectifs (éminemment sociaux s'il en est), de structures et organes (censés aussi être responsables, respectables et respectueux) et de ressources (humaines dignes de considération, financières et matérielles ou technologiques aussi considérables), ainsi que des méthodes et procédures appuyées à des liaisons conçues toutes de sagesse et de bon sens fonctionnel et hiérarchique... Mais pour les habitants d'Algérie, c'est une «a(i)nadministration» incarnant une indéfinissable superpuissance supranaturelle, occulte et malveillante qui aurait expérimenté les sombres fricotages d'antiques curateurs, procurateurs, archontes ou suffètes et autres prévôts ou capitouls et échevins dont elle semble puiser la substance et l'esprit, de plus en plus soucieuse de se plier, avec plus ou moins de zèle (plutôt plus que moins se conseille-t-elle) aux volontés et aux désirs du plus puissant, du chef, du clan, de la bande, du cercle ou de la clique dominante.
Chaque jour, à leur corps défendant, les gens la subissent, contraints d'aller à elle ou bien elle venant, pour une raison ou une autre, d'une manière ou d'une autre. Ici, là ou ailleurs, partout pareille à elle-même, elle se réplique à l'infini, autant de métastases, contraignant chacun implacablement à vivre, agir et ne pas agir suivant ses lois et règlements, ses atermoiements, ses décisions et ses exigences intempestives, ses modèles, ses arguties, ses calculs, ses factures, ses pensums qu'elle seule conçoit et qu'elle seule édicte sans concertation ni recours... Politique ou civile, la bureaucratie traque ses proies, les harcèle, les fatigue, les essouffle, les épuise, les stresse et les traumatise et les rançonne, jusqu'à l'étouffement. Mais surtout elle ronge leurs libertés, dépouillant leur vie privée, en violant l'intimité... En un mot, elle humilie, intimant d'abord le mutisme, en rang comme en politique («ferme ta g... bellaâ foumec !»). C'est qu'elle se revendiquerait du boa constrictor ou encore du Léviathan, ladite bureaucratie ! Le plus souvent, elle ne s'apparente même pas à celle dont Max Weber (1864-1920) citait des qualités (relations d'autorité dans le cadre d'obligations impersonnelles et officielles, hiérarchie d'emplois et champ de compétence définis, contrat de travail, critères de compétences à l'emploi, contrôle du travail, etc.) qui vont contribuer à accroître l'efficacité de l'Etat. Au demeurant ce «système» ne reste que théorique forme d'organisation interne de l'administration «civile» (dite Fonction publique), mais qui n'est pas sans nuisance, le moindre de ses maux n'étant pas l'inefficacité. Michel Crozier note que «les acteurs inclus dans une situation bureaucratique manquent d'efficacité et d'initiative à cause des règles, celles-ci ne pouvant prévoir toutes les situations». Aussi, les bureaucrates ne s'organisent-ils que pour eux-mêmes, cochant leurs erreurs.
En sorte que la bureaucratie «peut être caractérisée comme une organisation qui n'arrive pas à se corriger». Surtout, ajouteraient les mauvaises langues, lorsqu'elle se complique de quasi analphabétisme ou d'illettrisme et de gérontocratie.
On sait que les «régimes autoritaires s'appuient sur la bureaucratie encadrant l'ensemble des activités sociales et sur un système corporatiste qui est le corps intermédiaire entre la vie économique et l'Etat», dit Guy Hermet (cf. L'autoritarisme, in traité de Science politique, Tome 2 de M Grawitz, J Leca.).
L'acitoyenneté via la corruption
En effet, l'autocratie agit de consert avec la bureaucratie pour instaurer «l'acitoyenneté», c'est-à-dire la négation du droit de cité des gens, donc l'absence, et même l'abience(2) de la citoyenneté, dans l'action et l'esprit de la gouvernance (au sens large comme relation à la société) étatique ou privée. En ce sens, le cynisme est au pouvoir, c'est l'ère du «cybérocynisme» (encore un barbarisme gréco-latin) ! L'esprit «acitoyen» qui lui est consubstantiel, c'est cette mentalité où prédominent le culte de la personnalité, le stéréotype de pensée, le préjugé et la morgue ainsi que la ratiocination et la procrastination du droit des autres. Or, cette bureaucratie cynique ne fait que protéger ses propres intérêts, édictant notamment que «nul n'est censé ignorer la loi» et que «El kanoun la yahmi el moughafaline, (la loi ne protège pas les na'ifs, les étourdis)...». Acquise comme il se doit à la minorité écrasante, elle traduit «Etat de droit» par «Etat de la loi, dawlat el kanoun au lieu de Dawlat El hakk», à l'intention de ceux- là dont elle postule qu'ils sachent tout et de ceux-là qui ne le sauraient pas. Ainsi, le peuple devient «populace» devant les bures aux crasses(3) qui se dédouanent en lui reprochant de ne «rien comprendre et de manquer de civisme», histoire de lui imputer toutes les tracasseries(4) (interdits en tous genres et dérogations et autorisations y afférentes, paperasseries, encombrements des espaces, divers manquements, manques et absences y compris de qualifications et de compétences ...
Certain peuple préfère l'automne
Par la grâce de ses accointances coupables, son côté informel aidant (l'informel ne sévissant pas seulement dans le commerce des denrées, mais dans tous les bureaux et offices et officines), la bureaucratie ouvre toutes grandes les voies de la corruption de tout le corps social pour mieux nourrir la sienne. D'où les abus de position et le trafic d'influence qui côtoient pêle-mêle l'incivisme qui le dispute férocement à la malséance et à la vulgarité grossière(5).
La corruption ainsi catalysée par la bureaucratie procède désormais des NTIC les plus perfectionnées, remplaçant sans technicité aucune le management et le marketing ainsi que toute culture de travail. D'ailleurs, ce n'est pas la corruption qui est démocratisée (sic) mais la démocratie qui est bureaucratisée ! La bureaucratie corruptive a sectionné le corps social en hommes, femmes, jeunes, vieux, travailleurs, chômeurs, paysans, retraités, célibataires, mariés, etc. Toutes virtualités formelles ne partageant, semble-t-il, aucun besoin ou espace public ou social, et si abstraites et non significatives qu'elles en sont insignifiantes et donc à ignorer totalement. Ce dont la bureaucratie ne se prive pas. Cependant, elle ignore de distinguer les riches et les pauvres(6), et pour cause, il faut dissimuler les riches aux yeux des pauvres pour protéger les uns contre les tentations des autres. Mais elle n'omet pas de regrouper tous les non-affiliés et non-apparentés aux puissants, dans la catégorie des délinquants, non pas potentiels, mais plutôt prévenus condamnés avec sursis ou en liberté provisoire. Il semble que d'être de ce pays devait être puni ! Aussi, la citoyenneté passe par l'abolition de la bureaucratie... Mais quant à la bureaucratie, diront les guérisseurs, on en a besoin(7) tout de même ! Comment faire sans elle dans la rue, les hôpitaux, les écoles, les gares, aux guichets, aux pompes d'essence, dans les supermarchés, à l'intérieur des bus et des trains et du téléphérique, du métro, du tramway (si Dieu leur prête vie) ; elle sera en tous lieux où les gens se rendent pour naître, travailler, acquérir un objet ou glaner un service comme se sustenter, se loger, voyager, se divertir ou se délasser, et mourir, etc. C'est un mal nécessaire !
En tout état de cause, diront encore les véritables guérisseurs, il faut faire plus vite que le printemps, pour arriver en été ! C'est que l'enjeu, mine de rien, ce n'est rien moins que le gargantuesque régime alimentaire dont il faudrait peut-être qu'il en échoit (disons, quelques rogatons) à ceux dont l'existence n'est reconnue jusque-là que pour mieux les culpabiliser et leur en dénier le droit de la vivre librement. D'ailleurs, lorsqu'on fait mine de «les écouter» ce n'est pas à eux qu'il est demandé de dire où ils ont mal au ventre. En effet, les guérisseurs savent d'avance qu'en parlant du ventre (oui, les ventripodes sont aussi des ventriloques), c'est du pied qu'il s'agirait et partant de l'incapacité d'avancer sans risque de se faire amputer ou de tomber dans quelque trou noir non inventorié par les services de sécurité qui seraient alors bien en peine de ne pouvoir porter secours aux malades écervelés par le rhume. Du reste, faut-il savoir qu'un cabinet d'écoute médicale ce n'est tout de même ni la foire ni le plus grand cabaret du monde (sic). De toute façon, un «atome du peuple» ne pourrait, ne saurait être Une Personnalité capable de s'exprimer dans «l'écoutoir» sophistiqué comme un vote censitaire... Et puis, il n'y a pas vraiment lieu (n'est-ce pas ?) de faire tout un foin pour un rhume (qui certes, fout la diarrhée au passage), qui fout le camp avec le printemps... Mais il y a un mais... Certain peuple aime l'automne.

Y. Hebib. Psychologue, Auteur de «Empire des Revers»
-1) Peut être pas tout à fait en accord avec le précepte de ne jurer que par Allah, considérant la religion de l'Etat)... A moins d'une traduction plus conforme du mot «e-nazilat»
-2) En psychologie : attribution d'un sens systématiquement négatif à quelque chose (contraire de «adience»),
-3) Bure = étoffe, d'où «bureau» (depuis qu'on a recouvert le plancher avec une bure)
-4) Nouvelle trouvaille à la daïra d'Hussein-
Dey : un casier judiciaire pour un bébé de 9
mois ! (Radar, mardi 31 mai 2011)
-5) Certains agents font plus videurs ou
matrones ; combien de fois n'en a-t-on pas entendu les «bellaâ foumec ; elli ma-ydjich hhna goudami, ghir ma-yettmaa yedi
cwaghto ; manich khedam end babac ; roh
techqi ; dez maâhhoum ; etmehen ; matchi problem taii ; yakhi abed, yakhi», etc.
-6) Par exemple, égalité devant l'impôt et devant les prix soutenus
-7) Comme écran de fumée, voile, alibi, bouc émissaire, échappatoire, faux fuyant, fausse piste, (lièvre), allégation (de mauvaise foi), etc.


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