Le ministre des Ressources en eau a indiqué depuis Washington que l'Algérie avait besoin du savoir-faire et des équipements des sociétés américaines et qu'elle n'était pas un marché pour quelques pays européens. Le ministre a, lors d'une rencontre organisée par le Conseil d'affaires algéro-américain (USABC) et l'ambassade d'Algérie à Washington, expliqué le contexte économique actuel de l'Algérie et ce qui est attendu des investisseurs étrangers. Evoquant le programme quinquennal de développement 2010-2014, doté d'une enveloppe de 286 milliards de dollars, Abdelmalek Sellal a rappelé que le pays avait décidé de sortir d'un système politique et économique dirigé et d'opter pour l'économie de marché. Or, a-t-il indiqué, « on a ouvert les portes et des truands y sont entrés ». Réaffirmant que l'Algérie « veillera à appliquer la réglementation » en vigueur en matière des investissements étrangers, Sellal a souligné qu'elle a non seulement toutes les capacités financières pour réaliser ce programme quinquennal, mais qu'elle a, aussi, constamment honoré ses engagements financiers dans ses contrats avec ses partenaires. « Le marché algérien vous est ouvert sur l'ensemble des secteurs d'activités pour lesquels des budgets publics importants sont affectés. Nous avons besoin de savoir-faire et des équipements des compagnies américaines. L'Algérie n'est pas un marché pour quelques pays européens », a-t-il souligné, tout en appelant les compagnies américaines à s'engager davantage avec les sociétés algériennes, qu'elles soient publiques ou privées, à travers un « partenariat gagnant-gagnant », tel que stipulé par la législation algérienne en matière d'investissement, c'est-à-dire 51% pour le partenaire algérien et le reste pour la firme américaine. Abdelmalek Sellal a indiqué qu'il avait constaté à l'issue de son entrevue avec les responsables américains, que ces derniers « demandaient juste des explications sur le contenu de cette nouvelle réglementation mais qu'ils n'y étaient pas contre », tout en soulignant qu' « il y a une compréhension de la partie américaine » à l'égard de ces questions. En effet, le ministre algérien a expliqué aux responsables américains que la nouvelle conception algérienne en matière d'investissements étrangers ne tolérait plus une ouverture du marché national où l'entreprise algérienne ne tirerait pas profit de ces projets. « Une fois ces explications présentées, les responsables américains ont fait preuve de compréhension et ont demandé uniquement que cette nouvelle réglementation sur les investissements soit correctement appliquée », a-t-il noté. Par ailleurs, il a affirmé que l'image de l'Algérie évoluait positivement auprès du gouvernement américain, ajoutant que le choix fait, d'ailleurs, par les Etats-Unis pour l'organisation à Alger de la Conférence sur l'entreprenariat Etats-Unis-Maghreb de décembre prochain, en est « un signe extrêmement fort ». Abdelmalek Sellal a eu également un entretien à la Maison Blanche avec un haut responsable auprès du Conseil de sécurité nationale (National Security Council, NSC). Le ministre des Ressources en eau a indiqué depuis Washington que l'Algérie avait besoin du savoir-faire et des équipements des sociétés américaines et qu'elle n'était pas un marché pour quelques pays européens. Le ministre a, lors d'une rencontre organisée par le Conseil d'affaires algéro-américain (USABC) et l'ambassade d'Algérie à Washington, expliqué le contexte économique actuel de l'Algérie et ce qui est attendu des investisseurs étrangers. Evoquant le programme quinquennal de développement 2010-2014, doté d'une enveloppe de 286 milliards de dollars, Abdelmalek Sellal a rappelé que le pays avait décidé de sortir d'un système politique et économique dirigé et d'opter pour l'économie de marché. Or, a-t-il indiqué, « on a ouvert les portes et des truands y sont entrés ». Réaffirmant que l'Algérie « veillera à appliquer la réglementation » en vigueur en matière des investissements étrangers, Sellal a souligné qu'elle a non seulement toutes les capacités financières pour réaliser ce programme quinquennal, mais qu'elle a, aussi, constamment honoré ses engagements financiers dans ses contrats avec ses partenaires. « Le marché algérien vous est ouvert sur l'ensemble des secteurs d'activités pour lesquels des budgets publics importants sont affectés. Nous avons besoin de savoir-faire et des équipements des compagnies américaines. L'Algérie n'est pas un marché pour quelques pays européens », a-t-il souligné, tout en appelant les compagnies américaines à s'engager davantage avec les sociétés algériennes, qu'elles soient publiques ou privées, à travers un « partenariat gagnant-gagnant », tel que stipulé par la législation algérienne en matière d'investissement, c'est-à-dire 51% pour le partenaire algérien et le reste pour la firme américaine. Abdelmalek Sellal a indiqué qu'il avait constaté à l'issue de son entrevue avec les responsables américains, que ces derniers « demandaient juste des explications sur le contenu de cette nouvelle réglementation mais qu'ils n'y étaient pas contre », tout en soulignant qu' « il y a une compréhension de la partie américaine » à l'égard de ces questions. En effet, le ministre algérien a expliqué aux responsables américains que la nouvelle conception algérienne en matière d'investissements étrangers ne tolérait plus une ouverture du marché national où l'entreprise algérienne ne tirerait pas profit de ces projets. « Une fois ces explications présentées, les responsables américains ont fait preuve de compréhension et ont demandé uniquement que cette nouvelle réglementation sur les investissements soit correctement appliquée », a-t-il noté. Par ailleurs, il a affirmé que l'image de l'Algérie évoluait positivement auprès du gouvernement américain, ajoutant que le choix fait, d'ailleurs, par les Etats-Unis pour l'organisation à Alger de la Conférence sur l'entreprenariat Etats-Unis-Maghreb de décembre prochain, en est « un signe extrêmement fort ». Abdelmalek Sellal a eu également un entretien à la Maison Blanche avec un haut responsable auprès du Conseil de sécurité nationale (National Security Council, NSC).