La reprise mondiale se poursuit mais elle reste inégale entre les pays avancés et les pays émergents, a indiqué hier le FMI qui a relevé à la hausse ses prévisions de la croissance mondiale pour 2011. Dans les pays avancés, l'activité a moins ralenti que prévu, mais la croissance demeure timide, le chômage est encore élevé et le regain de tensions dans la périphérie de la zone euro contribue à renforcer les risques baissiers, souligne le Fonds dans son dernier rapport sur les perspectives de l'économie mondiale 2011. Il ajoute que dans nombre de pays émergents, l'activité reste soutenue, des pressions inflationnistes commencent à se faire jour et on décèle désormais des signes de surchauffe, en partie sous l'effet de l'afflux massif de capitaux. D'après les projections du FMI, la croissance mondiale devrait être de 4,4% en 2011. Ce qui représente une révision à la hausse de 0,2 point par rapport à ses prévisions d'octobre dernier qui tablaient sur une croissance de 4,2%. Pour le FMI, cette évolution s'explique à la fois par une hausse plus marquée que prévu de l'activité au second semestre de 2010 et par de nouvelles initiatives des Etats-Unis, qui vont stimuler l'activité cette année. Cependant, avise-t-il, la reprise continue d'être exposée à des risques élevés de ralentissement. Les mesures les plus urgentes, pour assurer un redressement vigoureux de l'activité, consistent à s'attaquer rapidement et de façon globale aux problèmes que connaît la zone euro en matière de dette souveraine et sur le plan financier, et à mettre en place les politiques nécessaires pour rééquilibrer les finances publiques et aussi réparer et réformer les systèmes financiers des pays avancés plus généralement. Ces mesures doivent être complétées par des actions visant à contenir les risques de surchauffe et à faciliter le rééquilibrage des comptes extérieurs des principaux pays émergents. De façon plus générale, les signes se multiplient d'un redémarrage solide de la consommation privée qui avait fortement chuté pendant la crise dans les grands pays avancés. La reprise mondiale se poursuit mais elle reste inégale entre les pays avancés et les pays émergents, a indiqué hier le FMI qui a relevé à la hausse ses prévisions de la croissance mondiale pour 2011. Dans les pays avancés, l'activité a moins ralenti que prévu, mais la croissance demeure timide, le chômage est encore élevé et le regain de tensions dans la périphérie de la zone euro contribue à renforcer les risques baissiers, souligne le Fonds dans son dernier rapport sur les perspectives de l'économie mondiale 2011. Il ajoute que dans nombre de pays émergents, l'activité reste soutenue, des pressions inflationnistes commencent à se faire jour et on décèle désormais des signes de surchauffe, en partie sous l'effet de l'afflux massif de capitaux. D'après les projections du FMI, la croissance mondiale devrait être de 4,4% en 2011. Ce qui représente une révision à la hausse de 0,2 point par rapport à ses prévisions d'octobre dernier qui tablaient sur une croissance de 4,2%. Pour le FMI, cette évolution s'explique à la fois par une hausse plus marquée que prévu de l'activité au second semestre de 2010 et par de nouvelles initiatives des Etats-Unis, qui vont stimuler l'activité cette année. Cependant, avise-t-il, la reprise continue d'être exposée à des risques élevés de ralentissement. Les mesures les plus urgentes, pour assurer un redressement vigoureux de l'activité, consistent à s'attaquer rapidement et de façon globale aux problèmes que connaît la zone euro en matière de dette souveraine et sur le plan financier, et à mettre en place les politiques nécessaires pour rééquilibrer les finances publiques et aussi réparer et réformer les systèmes financiers des pays avancés plus généralement. Ces mesures doivent être complétées par des actions visant à contenir les risques de surchauffe et à faciliter le rééquilibrage des comptes extérieurs des principaux pays émergents. De façon plus générale, les signes se multiplient d'un redémarrage solide de la consommation privée qui avait fortement chuté pendant la crise dans les grands pays avancés.