Même si la caisse de retraite et d'assurance vieillesse française répond toujours, rapidement et favorablement, aux doléances des retraités algériens et aux demandeurs de pensions de retraite, des anomalies sont parfois perceptibles dans le fonctionnement de cette institution, telles que des erreurs et des omissions relatives à l'acheminement des pensions de retraite vers les pays africains et particulièrement l'Algérie. Ainsi, les Algériens, qui ont travaillé en France, ne semblent pas toucher la totalité de leur pension, en fonction des versements effectués durant la période de leur activité, selon des spécialistes français et algériens en assurance-vieillesse. Il y aurait même fraude sur les montants attribués aux Africains en général et les Algériens en particulier. C'est du moins ce que disent aussi certains retraités de France qui ne comprennent pas les montants de leurs pension souvent réduits au minimum. Les écrivains publics situés du côté des Chèques postaux à la Place des Martyrs ne chôment pas. Ils sont souvent submergés par des recours adressés aux caisses françaises d'assurance-vieillesse. D'autres personnes «retraitables» s'adressent directement à la caisse française d'assurance vieillesse pour régler et compléter leurs dossiers. Le constat se fait souvent quand les Algériens concernés se rendent en France et rencontrent leurs anciens collègues de travail qui touchent des pensions nettement meilleures, selon leur dire. « Quand on adresse des recours fondés, les caisses françaises répondent souvent positivement aux doléances des Algériens qui s'estiment lésés » dira un écrivain public « spécialisé » dans les recours aux caisses françaises d'assurance vieillesse. Certains disent aussi en France que des pensions sont versées en Algérie ; alors que leurs titulaires sont décédés depuis longtemps. Ce sont leurs proches qui continueraient à toucher les pensions en fournissant de fausses attestations d'état civil et d'existence. Mais les avis sont contradictoires sur les prétendues fraudes aux retraites versées par la caisse française à des retraités algériens ayant travaillé en France. Le directeur de la Caisse française d'assurance-vieillesse française (CNAV), Pierre Mayeur a réagi cette semaine pour démentir cette situation portant seulement sur les vieux retraités centenaires. Il a déclaré, jeudi dernier qu' « on ne peut pas dire qu'il y ait une fraude majeure aux retraites en Algérie ». Dans le même temps, un rapport en 2010 de la cour des comptes française, relayé par des sites Internet d'extrême droite faisait part «d'un nombre de centenaires pensionnés du régime général (français) dans ce pays supérieur à celui recensé par les services chargés du recensement pour toute l'Algérie». La CNAV précise que seulement 539 centenaires sont pensionnés de la caisse nationale (française) d'assurance-vieillesse en Algérie, soit 0,12 % du total, une proportion égale à celle de la France (0,11 %). La CNAV décide néanmoins de renforcer les contrôles en Algérie et en Tunisie afin de s'assurer que les pensions ne sont pas versées à des familles d'assurés décédés. La CNAV procède, depuis 2008, à un doublement des effectifs de l'assurance-vieillesse pour permettre la détection de la triche. Les fraudes aux pensions détectées par la CNAV s'évaluaient à 47,5 millions d'euros en 2010, contre 25,4 millions d'euros en 2009. Des personnes à l'âge de la retraite sollicitent, souvent, l'expertise et l'intervention des consultants et des spécialistes en matière d'évaluation des retraites, situés en France. Même si la caisse de retraite et d'assurance vieillesse française répond toujours, rapidement et favorablement, aux doléances des retraités algériens et aux demandeurs de pensions de retraite, des anomalies sont parfois perceptibles dans le fonctionnement de cette institution, telles que des erreurs et des omissions relatives à l'acheminement des pensions de retraite vers les pays africains et particulièrement l'Algérie. Ainsi, les Algériens, qui ont travaillé en France, ne semblent pas toucher la totalité de leur pension, en fonction des versements effectués durant la période de leur activité, selon des spécialistes français et algériens en assurance-vieillesse. Il y aurait même fraude sur les montants attribués aux Africains en général et les Algériens en particulier. C'est du moins ce que disent aussi certains retraités de France qui ne comprennent pas les montants de leurs pension souvent réduits au minimum. Les écrivains publics situés du côté des Chèques postaux à la Place des Martyrs ne chôment pas. Ils sont souvent submergés par des recours adressés aux caisses françaises d'assurance-vieillesse. D'autres personnes «retraitables» s'adressent directement à la caisse française d'assurance vieillesse pour régler et compléter leurs dossiers. Le constat se fait souvent quand les Algériens concernés se rendent en France et rencontrent leurs anciens collègues de travail qui touchent des pensions nettement meilleures, selon leur dire. « Quand on adresse des recours fondés, les caisses françaises répondent souvent positivement aux doléances des Algériens qui s'estiment lésés » dira un écrivain public « spécialisé » dans les recours aux caisses françaises d'assurance vieillesse. Certains disent aussi en France que des pensions sont versées en Algérie ; alors que leurs titulaires sont décédés depuis longtemps. Ce sont leurs proches qui continueraient à toucher les pensions en fournissant de fausses attestations d'état civil et d'existence. Mais les avis sont contradictoires sur les prétendues fraudes aux retraites versées par la caisse française à des retraités algériens ayant travaillé en France. Le directeur de la Caisse française d'assurance-vieillesse française (CNAV), Pierre Mayeur a réagi cette semaine pour démentir cette situation portant seulement sur les vieux retraités centenaires. Il a déclaré, jeudi dernier qu' « on ne peut pas dire qu'il y ait une fraude majeure aux retraites en Algérie ». Dans le même temps, un rapport en 2010 de la cour des comptes française, relayé par des sites Internet d'extrême droite faisait part «d'un nombre de centenaires pensionnés du régime général (français) dans ce pays supérieur à celui recensé par les services chargés du recensement pour toute l'Algérie». La CNAV précise que seulement 539 centenaires sont pensionnés de la caisse nationale (française) d'assurance-vieillesse en Algérie, soit 0,12 % du total, une proportion égale à celle de la France (0,11 %). La CNAV décide néanmoins de renforcer les contrôles en Algérie et en Tunisie afin de s'assurer que les pensions ne sont pas versées à des familles d'assurés décédés. La CNAV procède, depuis 2008, à un doublement des effectifs de l'assurance-vieillesse pour permettre la détection de la triche. Les fraudes aux pensions détectées par la CNAV s'évaluaient à 47,5 millions d'euros en 2010, contre 25,4 millions d'euros en 2009. Des personnes à l'âge de la retraite sollicitent, souvent, l'expertise et l'intervention des consultants et des spécialistes en matière d'évaluation des retraites, situés en France.