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Quels sont les risques pour mon enfant ?
Pollution
Publié dans Le Midi Libre le 19 - 09 - 2007

Les agents polluants les plus importants sont le dioxyde d'azote et l'ozone, qui ont des effets néfastes sur l'appareil respiratoire, mais aussi le monoxyde de carbone qui touche plutôt le coeur et le cerveau.
Les agents polluants les plus importants sont le dioxyde d'azote et l'ozone, qui ont des effets néfastes sur l'appareil respiratoire, mais aussi le monoxyde de carbone qui touche plutôt le coeur et le cerveau.
Chez l'adulte, une pollution accrue augmente la fréquence des troubles comme l'insuffisance respiratoire ou la bronchite chronique. Les polluants vont aussi diminuer les défenses de l'organisme aux infections.
Les conséquences de la pollution
Lors des pics de pollution à l'ozone, la plupart des gens ne ressentent rien. Cependant, certains décrivent des oppressions thoraciques et des douleurs à l'inspiration profonde dues à l'irritation des voies respiratoires, ou encore des irritations au niveau des yeux.
Les enfants respirent à une fréquence plus élevée que les adultes, ils inhalent donc encore plus de polluants. Les promenades en poussette ou à pied les mettent juste au niveau… des pots d'échappement, ce qui les expose plus encore. Enfin, leur appareil respiratoire est en plein développement, et ils sont plus facilement sujets aux allergies que leurs parents.
Les cellules bronchiques de l'enfant sont fragiles, en particulier les cellules ciliaires. Ce sont des cellules dont le rôle est d'éliminer les poussières en les faisant remonter à l'extérieur de l'arbre respiratoire. Des cellules immatures trop fréquemment exposées risquent d'être définitivement abîmées. L'irritation des bronches liée aux polluants favorise également l'apparition de crises d'asthme et aggrave les lésions de la bronchiolite virale chez le nourrisson.
Limiter l'exposition
à la pollution extérieure
Si vous habitez en ville, ne privez pas pour autant bébé de sa promenade quotidienne. Cependant, évitez les sorties pendant un pic de pollution, surtout aux heures de pointe où l'air se charge en ozone. Préférez les balades du matin ou de la soirée. Evitez les grands axes routiers, et recherchez les espaces verts. Attention au brouillard, ses fines gouttelettes contiennent des polluants qui seront facilement inhalés. Enfin, même s'il fait chaud, préférez le kangourou à la poussette, car il permet de maintenir bébé en hauteur, à distance des pots d'échappement.
N'oubliez pas la pollution domestique
Celle-ci est en effet tout aussi dangereuse pour votre enfant : tabagisme passif, produits chimiques, sprays, désinfectants, laques, peintures, vapeurs de colle… Il faut donc aérer régulièrement votre maison, en particulier la chambre de l'enfant, et de préférence la nuit. Evitez de fumer en voiture, sinon aérez-la avant d'y installer l'enfant. Et n'oubliez pas de vider les cendriers…
Les femmes enceintes également
Ces conseils sont valables pour les personnes qui promènent un tout-petit, mais aussi pour les futures mamans. Des études ont en effet montré que l'exposition des femmes enceintes au monoxyde de carbone et à l'ozone augmentait le risque de troubles pulmonaires ou cardiaques chez l'enfant à naître, au même titre que le tabagisme maternel ou des régimes alimentaires déséquilibrés.
Les enfants qui grandissent au milieu des villes polluées encourent un risque de lésions pulmonaires, alors même qu'ils apparaissent en parfaite santé. De précédentes recherches avaient souligné un risque plus important de troubles respiratoire (en particulier l'asthme) chez les enfants vivant dans des zones de forte pollution atmosphérique.
Mais cette nouvelle étude va encore plus loin en comparant les radiographies pulmonaires de 241 enfants vivant à Mexico à 19 résidant dans une petite ville du bord de mer. Les chercheurs américains et mexicains ont réalisé également des scanner chez les jeunes présentant des changements anormaux.
Bien que tous les enfants paraissent en bonne santé :
- 63 % des enfants en zone urbaine présentaient des inflammations excessives des deux poumons ;
- Plus de la moitié (52 %) ont montré des quantité anormales de marques interstitielles, signes d'anomalies pulmonaires futures.
Les anomalies constatées (hyper inflammation et marques interstitielles) ont été statistiquement reliées aux niveaux de pollution atmosphérique liés aux particules atmosphériques volatiles et au niveau d'ozone.
Selon une étude ,la vitamine D dotée d'un potentiel médicinal puissant,
- Prendre des compléments de vitamines D pourrait réduire les risques de mortalité dus à des maladies comme le cancer ou le diabète, selon une étude publiée lundi, qui vient conforter l'idée selon laquelle les antioxydants auraient un important potentiel médicinal.
Les Dr Philippe Autier de l'Agence internationale de recherche sur le cancer à Lyon (France) et Sara Gandini de l'Institut européen du cancer à Milan (Italie) ont analysé les résultats de 18 essais cliniques conduits avant novembre 2006 sur 57.311 personnes de 50 ans et plus.
Au cours d'une période moyenne de suivi de 5,7 années, les personnes qui ont pris de la vitamine D présentaient un risque de mortalité 7% moindre que ceux ayant pris un placebo, ont conclu ces chercheurs dont les travaux paraissent dans les Archives of Internal Medicine, publiées par le Journal of the American Medical Association.
Les doses prises par les participants étaient de 528 unités internationales.
Dans neuf essais cliniques où les participants ont eu des analyses de sang, leur organisme avait une teneur en vitamine D de 1,4 à 5,2 fois plus importante que ceux ne prenant pas de compléments.
Ces résultats vont dans le sens d'études faites précédemment, qui indiquaient que des déficiences en vitamine D étaient liées à une mortalité plus élevée par cancer, maladies cardio-vasculaires et diabète, responsables de 60% à 70% des décès dans les pays riches.
"S'il existe des liens entre la carence de vitamine D et ces maladies,prendre des compléments de cette vitamine doit logiquement entraîner une baisse de la mortalité", écrivent les auteurs de cette recherche, qui ajoutent cependant que "les mécanismes par lesquels les compléments de vitamine D agissent pour réduire toutes ces causes de mortalité ne sont pas clairs".
La vitamine D, qui est synthétisée par la peau sous l'effet de l'exposition au soleil, pourrait neutraliser des mécanismes par lesquels les cellules cancéreuses prolifèrent ou doper le système immunitaire.
Cette méta-analyse "est une nouvelle preuve du rôle bénéfique joué par la vitamine D pour la santé", écrit dans un éditorial le Dr Edward Giovannucci, de la faculté de médecine de l'université Harvard.
En juin, la Société Canadienne du Cancer (SCC) avait recommandé aux adultes de prendre quotidiennement 1.000 unités internationales de vitamine D pendant l'automne et l'hiver, comme moyen efficace de prévenir le cancer.
La SCC citait les nombreux liens entre la vitamine D et une réduction des risques de cancers de la prostate, du sein et colorectal.
Une étude publiée au printemps dans l'American Journal of Clinical Nutrition révélait qu'une combinaison de suppléments de vitamine D et de calcium réduisait les risques de tous les cancers chez les femmes post-ménopausées.
Par ailleurs, selon une recherche publiée lundi par l'Université Johns Hopkins à Baltimore (Maryland, est), la vitamine C et d'autres antioxydants empêchent apparemment le développement de certaines tumeurs cancéreuses en neutralisant une protéine, dite HIF-1.
Certains cancers à progression rapide consomment tellement d'énergie qu'ils brûlent tout l'oxygène disponible autour d'eux et dépendent absolument de cette protéine, qui compense la diminution d'oxygène dans les cellules.
Mais celle-ci ne peut pas fonctionner sans des radicaux libres, parties instables et très réactive d'une molécule. Les antioxydants comme la vitamine C détruisent ces radicaux libres, neutralisant l'HIF-1 et bloquant le développement de la tumeur cancéreuse, selon cette étude.
Chez l'adulte, une pollution accrue augmente la fréquence des troubles comme l'insuffisance respiratoire ou la bronchite chronique. Les polluants vont aussi diminuer les défenses de l'organisme aux infections.
Les conséquences de la pollution
Lors des pics de pollution à l'ozone, la plupart des gens ne ressentent rien. Cependant, certains décrivent des oppressions thoraciques et des douleurs à l'inspiration profonde dues à l'irritation des voies respiratoires, ou encore des irritations au niveau des yeux.
Les enfants respirent à une fréquence plus élevée que les adultes, ils inhalent donc encore plus de polluants. Les promenades en poussette ou à pied les mettent juste au niveau… des pots d'échappement, ce qui les expose plus encore. Enfin, leur appareil respiratoire est en plein développement, et ils sont plus facilement sujets aux allergies que leurs parents.
Les cellules bronchiques de l'enfant sont fragiles, en particulier les cellules ciliaires. Ce sont des cellules dont le rôle est d'éliminer les poussières en les faisant remonter à l'extérieur de l'arbre respiratoire. Des cellules immatures trop fréquemment exposées risquent d'être définitivement abîmées. L'irritation des bronches liée aux polluants favorise également l'apparition de crises d'asthme et aggrave les lésions de la bronchiolite virale chez le nourrisson.
Limiter l'exposition
à la pollution extérieure
Si vous habitez en ville, ne privez pas pour autant bébé de sa promenade quotidienne. Cependant, évitez les sorties pendant un pic de pollution, surtout aux heures de pointe où l'air se charge en ozone. Préférez les balades du matin ou de la soirée. Evitez les grands axes routiers, et recherchez les espaces verts. Attention au brouillard, ses fines gouttelettes contiennent des polluants qui seront facilement inhalés. Enfin, même s'il fait chaud, préférez le kangourou à la poussette, car il permet de maintenir bébé en hauteur, à distance des pots d'échappement.
N'oubliez pas la pollution domestique
Celle-ci est en effet tout aussi dangereuse pour votre enfant : tabagisme passif, produits chimiques, sprays, désinfectants, laques, peintures, vapeurs de colle… Il faut donc aérer régulièrement votre maison, en particulier la chambre de l'enfant, et de préférence la nuit. Evitez de fumer en voiture, sinon aérez-la avant d'y installer l'enfant. Et n'oubliez pas de vider les cendriers…
Les femmes enceintes également
Ces conseils sont valables pour les personnes qui promènent un tout-petit, mais aussi pour les futures mamans. Des études ont en effet montré que l'exposition des femmes enceintes au monoxyde de carbone et à l'ozone augmentait le risque de troubles pulmonaires ou cardiaques chez l'enfant à naître, au même titre que le tabagisme maternel ou des régimes alimentaires déséquilibrés.
Les enfants qui grandissent au milieu des villes polluées encourent un risque de lésions pulmonaires, alors même qu'ils apparaissent en parfaite santé. De précédentes recherches avaient souligné un risque plus important de troubles respiratoire (en particulier l'asthme) chez les enfants vivant dans des zones de forte pollution atmosphérique.
Mais cette nouvelle étude va encore plus loin en comparant les radiographies pulmonaires de 241 enfants vivant à Mexico à 19 résidant dans une petite ville du bord de mer. Les chercheurs américains et mexicains ont réalisé également des scanner chez les jeunes présentant des changements anormaux.
Bien que tous les enfants paraissent en bonne santé :
- 63 % des enfants en zone urbaine présentaient des inflammations excessives des deux poumons ;
- Plus de la moitié (52 %) ont montré des quantité anormales de marques interstitielles, signes d'anomalies pulmonaires futures.
Les anomalies constatées (hyper inflammation et marques interstitielles) ont été statistiquement reliées aux niveaux de pollution atmosphérique liés aux particules atmosphériques volatiles et au niveau d'ozone.
Selon une étude ,la vitamine D dotée d'un potentiel médicinal puissant,
- Prendre des compléments de vitamines D pourrait réduire les risques de mortalité dus à des maladies comme le cancer ou le diabète, selon une étude publiée lundi, qui vient conforter l'idée selon laquelle les antioxydants auraient un important potentiel médicinal.
Les Dr Philippe Autier de l'Agence internationale de recherche sur le cancer à Lyon (France) et Sara Gandini de l'Institut européen du cancer à Milan (Italie) ont analysé les résultats de 18 essais cliniques conduits avant novembre 2006 sur 57.311 personnes de 50 ans et plus.
Au cours d'une période moyenne de suivi de 5,7 années, les personnes qui ont pris de la vitamine D présentaient un risque de mortalité 7% moindre que ceux ayant pris un placebo, ont conclu ces chercheurs dont les travaux paraissent dans les Archives of Internal Medicine, publiées par le Journal of the American Medical Association.
Les doses prises par les participants étaient de 528 unités internationales.
Dans neuf essais cliniques où les participants ont eu des analyses de sang, leur organisme avait une teneur en vitamine D de 1,4 à 5,2 fois plus importante que ceux ne prenant pas de compléments.
Ces résultats vont dans le sens d'études faites précédemment, qui indiquaient que des déficiences en vitamine D étaient liées à une mortalité plus élevée par cancer, maladies cardio-vasculaires et diabète, responsables de 60% à 70% des décès dans les pays riches.
"S'il existe des liens entre la carence de vitamine D et ces maladies,prendre des compléments de cette vitamine doit logiquement entraîner une baisse de la mortalité", écrivent les auteurs de cette recherche, qui ajoutent cependant que "les mécanismes par lesquels les compléments de vitamine D agissent pour réduire toutes ces causes de mortalité ne sont pas clairs".
La vitamine D, qui est synthétisée par la peau sous l'effet de l'exposition au soleil, pourrait neutraliser des mécanismes par lesquels les cellules cancéreuses prolifèrent ou doper le système immunitaire.
Cette méta-analyse "est une nouvelle preuve du rôle bénéfique joué par la vitamine D pour la santé", écrit dans un éditorial le Dr Edward Giovannucci, de la faculté de médecine de l'université Harvard.
En juin, la Société Canadienne du Cancer (SCC) avait recommandé aux adultes de prendre quotidiennement 1.000 unités internationales de vitamine D pendant l'automne et l'hiver, comme moyen efficace de prévenir le cancer.
La SCC citait les nombreux liens entre la vitamine D et une réduction des risques de cancers de la prostate, du sein et colorectal.
Une étude publiée au printemps dans l'American Journal of Clinical Nutrition révélait qu'une combinaison de suppléments de vitamine D et de calcium réduisait les risques de tous les cancers chez les femmes post-ménopausées.
Par ailleurs, selon une recherche publiée lundi par l'Université Johns Hopkins à Baltimore (Maryland, est), la vitamine C et d'autres antioxydants empêchent apparemment le développement de certaines tumeurs cancéreuses en neutralisant une protéine, dite HIF-1.
Certains cancers à progression rapide consomment tellement d'énergie qu'ils brûlent tout l'oxygène disponible autour d'eux et dépendent absolument de cette protéine, qui compense la diminution d'oxygène dans les cellules.
Mais celle-ci ne peut pas fonctionner sans des radicaux libres, parties instables et très réactive d'une molécule. Les antioxydants comme la vitamine C détruisent ces radicaux libres, neutralisant l'HIF-1 et bloquant le développement de la tumeur cancéreuse, selon cette étude.


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