le réalisateur a affirmé que, le pré-montage des rushs existants sera entamé dans les prochains jours pour accélérer la cadence de la production du film dont la sortie est prévue pour le 22 mars prochain, anniversaire de l'assassinat du chahid Mustapha Ben-Boulaid. le réalisateur a affirmé que, le pré-montage des rushs existants sera entamé dans les prochains jours pour accélérer la cadence de la production du film dont la sortie est prévue pour le 22 mars prochain, anniversaire de l'assassinat du chahid Mustapha Ben-Boulaid. Le réalisateur du film « Ben-Boulaid », M. Ahmed Rachedi et son producteur M. Sadek Bakhouch, ont animé une conférence de presse dans laquelle ils ont annoncé la reprise, dès le début du mois prochain, du tournage de leur film, suspendu depuis plus de deux mois. L'arrêt du tournage est dû au manque de financement et à l'accident survenu sur le plateau de tournage et dont a été victime l'acteur principal a indiqué le réalisateur. Parallèlement à la reprise de cette production, le réalisateur a affirmé que, le pré-montage des rushs existants sera entamé dans les prochains jours pour accélérer la cadence de la production du film dont la sortie est prévue pour le 22 mars prochain, date commémorant le 52e anniversaire de l'assassinat du chahid Mustapha Ben-Boulaid. Pour la réalisation de cette œuvre à travers laquelle les auteurs retracent la vie et l'œuvre du héros de la Révolution algérienne, le choix de l'acteur qui devait incarner le personnage « très complexe » de Ben-Boulaid, a nécessité de passer en revue plus de 600 comédiens précisera Ahmed Rachedi. Le casting a permis d'opter pour Hassen Kechach. Le choix pour les rôles secondaires, vu leur importance, a été aussi difficile a-t-on indiqué. L'inexpérience des jeunes acteurs, pour la plupart des amateurs, a nécessité beaucoup de tact de la part du réalisateur a affirmé le producteur. le tournage en 35 mm et avec une technologie de pointe, inexistante en Algérie, feront que ce produit, qui est toujours en cours de réalisation, connaisse d'autres aléas dont le recours aux maisons de production Italiennes pour la location du matériel. L'équipe technique qui accompagne Rachedi dans ce film est, elle aussi, étrangère, a indiqué M. Bakhouch. Toutes ces opérations, pour être menées à bien, ont nécessité des efforts considérables et une enveloppe assez consistante évaluée à 230 millions de DA. De ce montant arrêté lors du montage financier initial, la production n'a en fait reçu que 80 millions de DA avec lesquels il a été réalisé près de 80 % du film, ont souligné ses auteurs. Pour les projets à avenir, Rachedi prévoit la réalisation de deux autres films. Dans le premier, le réalisateur de « L'opium et le bâton » compte retracer la vie et l'œuvre de « Massinissa », ce roi berbère qui fit de la Numidie un Etat unifié, et le second sur Krim Belkacem, un autre héros de la Révolution algérienne. A l'issue de son intervention lors de cette rencontre et répondant à une question d'une consœur, Rachedi dira : « Il n'est pas important pour nous que la France demande ou non pardon. Le plus important est que nous, nous parlons de notre histoire et que notre peuple la connaisse ». Le réalisateur du film « Ben-Boulaid », M. Ahmed Rachedi et son producteur M. Sadek Bakhouch, ont animé une conférence de presse dans laquelle ils ont annoncé la reprise, dès le début du mois prochain, du tournage de leur film, suspendu depuis plus de deux mois. L'arrêt du tournage est dû au manque de financement et à l'accident survenu sur le plateau de tournage et dont a été victime l'acteur principal a indiqué le réalisateur. Parallèlement à la reprise de cette production, le réalisateur a affirmé que, le pré-montage des rushs existants sera entamé dans les prochains jours pour accélérer la cadence de la production du film dont la sortie est prévue pour le 22 mars prochain, date commémorant le 52e anniversaire de l'assassinat du chahid Mustapha Ben-Boulaid. Pour la réalisation de cette œuvre à travers laquelle les auteurs retracent la vie et l'œuvre du héros de la Révolution algérienne, le choix de l'acteur qui devait incarner le personnage « très complexe » de Ben-Boulaid, a nécessité de passer en revue plus de 600 comédiens précisera Ahmed Rachedi. Le casting a permis d'opter pour Hassen Kechach. Le choix pour les rôles secondaires, vu leur importance, a été aussi difficile a-t-on indiqué. L'inexpérience des jeunes acteurs, pour la plupart des amateurs, a nécessité beaucoup de tact de la part du réalisateur a affirmé le producteur. le tournage en 35 mm et avec une technologie de pointe, inexistante en Algérie, feront que ce produit, qui est toujours en cours de réalisation, connaisse d'autres aléas dont le recours aux maisons de production Italiennes pour la location du matériel. L'équipe technique qui accompagne Rachedi dans ce film est, elle aussi, étrangère, a indiqué M. Bakhouch. Toutes ces opérations, pour être menées à bien, ont nécessité des efforts considérables et une enveloppe assez consistante évaluée à 230 millions de DA. De ce montant arrêté lors du montage financier initial, la production n'a en fait reçu que 80 millions de DA avec lesquels il a été réalisé près de 80 % du film, ont souligné ses auteurs. Pour les projets à avenir, Rachedi prévoit la réalisation de deux autres films. Dans le premier, le réalisateur de « L'opium et le bâton » compte retracer la vie et l'œuvre de « Massinissa », ce roi berbère qui fit de la Numidie un Etat unifié, et le second sur Krim Belkacem, un autre héros de la Révolution algérienne. A l'issue de son intervention lors de cette rencontre et répondant à une question d'une consœur, Rachedi dira : « Il n'est pas important pour nous que la France demande ou non pardon. Le plus important est que nous, nous parlons de notre histoire et que notre peuple la connaisse ».