Les syndicalistes d'Algérie Poste, affiliés à la Fédération nationale des travailleurs de la poste et des technologies de l'information et des télécommunications (FNTPTIC), ont organisé, hier, une journée de protestation au siège de la Direction générale d'Algérie Poste, pour témoigner leur soutien au directeur des ressources humaines (DRH). Dans une déclaration rendue publique, ce syndicat affilié à l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA), dénonce « les comportements irréfléchis, ou du moins incompréhensibles, de la part des premiers responsables » d'Algérie Poste, dont le dernier en date est le limogeage du DRH. « Cela porte une atteinte grave au moral et à la sérénité de l'ensemble de la corporation des postiers (…) révèle le désarroi dans lequel se trouve l'autorité supérieure d'Algérie Poste », lit-on dans la déclaration. Au siège de cette entreprise, ledit syndicat a investi le bureau du DRH, en guise de protestation contre la nomination d'un directeur intérimaire. Les protestataires relèvent « l'illégalité » de cette désignation, car la nomination d'un directeur des ressources humaines se fait par arrêté ministériel, tiennent-ils à préciser. Cependant, il ne s'agit nullement d'une action de grève ou d'un bras de fer, car la Fédération en question souscrit au pacte économique et social que la Centrale syndicale avait conclu avec les pouvoirs publics, ont-ils ajouté. Autrement dit, « c'est une action légaliste que nous menons dans les règles de la loi qui nous confère le droit de nous impliquer dans la gestion de l'entreprise », ajoute-t-on encore. Selon le chargé de l'organique de la section syndicale du siège de la Direction générale d'Algérie Poste, cette action s'inscrit dans le cadre d'une démarche légaliste visant à alerter les responsables, les partenaires sociaux ainsi que les pouvoirs publics, sur les dysfonctionnements qui rongent Algérie Poste dans un souci de bon fonctionnement de l'entreprise. « Les responsabilités de la situation actuelle se doivent d'être situées et les conclusions qui s'imposeront, alors, se doivent d'être tirées », revendiquent en outre les protestataires, car « Algérie Poste a d'autres soucis amplement plus grands et plus importants que des considérations de personnes », soutiennent-ils. Et de préconiser la nécessité de recadrer sérieusement et rapidement les débats et se hisser à la hauteur des véritables préoccupations, des défis et des dangers qui guettent Algérie Poste. En outre, les syndicalistes d'Algérie Poste ont fait part de leurs soucis quant aux dysfonctionnements qui minent l'entreprise, à l'instar des détournements d'argent qui ne cessent de porter atteinte à la santé financière d'Algérie Poste et à l'économie nationale. Manifestement opposés au successeur du DRH limogé, les syndicalistes nourrissent des doutes sur cette décision et se montrent vivement inquiets pour l'avenir de leur entreprise qui emploie 27.000 salariés. Les syndicalistes d'Algérie Poste, affiliés à la Fédération nationale des travailleurs de la poste et des technologies de l'information et des télécommunications (FNTPTIC), ont organisé, hier, une journée de protestation au siège de la Direction générale d'Algérie Poste, pour témoigner leur soutien au directeur des ressources humaines (DRH). Dans une déclaration rendue publique, ce syndicat affilié à l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA), dénonce « les comportements irréfléchis, ou du moins incompréhensibles, de la part des premiers responsables » d'Algérie Poste, dont le dernier en date est le limogeage du DRH. « Cela porte une atteinte grave au moral et à la sérénité de l'ensemble de la corporation des postiers (…) révèle le désarroi dans lequel se trouve l'autorité supérieure d'Algérie Poste », lit-on dans la déclaration. Au siège de cette entreprise, ledit syndicat a investi le bureau du DRH, en guise de protestation contre la nomination d'un directeur intérimaire. Les protestataires relèvent « l'illégalité » de cette désignation, car la nomination d'un directeur des ressources humaines se fait par arrêté ministériel, tiennent-ils à préciser. Cependant, il ne s'agit nullement d'une action de grève ou d'un bras de fer, car la Fédération en question souscrit au pacte économique et social que la Centrale syndicale avait conclu avec les pouvoirs publics, ont-ils ajouté. Autrement dit, « c'est une action légaliste que nous menons dans les règles de la loi qui nous confère le droit de nous impliquer dans la gestion de l'entreprise », ajoute-t-on encore. Selon le chargé de l'organique de la section syndicale du siège de la Direction générale d'Algérie Poste, cette action s'inscrit dans le cadre d'une démarche légaliste visant à alerter les responsables, les partenaires sociaux ainsi que les pouvoirs publics, sur les dysfonctionnements qui rongent Algérie Poste dans un souci de bon fonctionnement de l'entreprise. « Les responsabilités de la situation actuelle se doivent d'être situées et les conclusions qui s'imposeront, alors, se doivent d'être tirées », revendiquent en outre les protestataires, car « Algérie Poste a d'autres soucis amplement plus grands et plus importants que des considérations de personnes », soutiennent-ils. Et de préconiser la nécessité de recadrer sérieusement et rapidement les débats et se hisser à la hauteur des véritables préoccupations, des défis et des dangers qui guettent Algérie Poste. En outre, les syndicalistes d'Algérie Poste ont fait part de leurs soucis quant aux dysfonctionnements qui minent l'entreprise, à l'instar des détournements d'argent qui ne cessent de porter atteinte à la santé financière d'Algérie Poste et à l'économie nationale. Manifestement opposés au successeur du DRH limogé, les syndicalistes nourrissent des doutes sur cette décision et se montrent vivement inquiets pour l'avenir de leur entreprise qui emploie 27.000 salariés.