Les villageois avoisinant les maquis forestiers de Merdj-Ouamane (Amizour), terrain objet d�une offensive d�envergure men�e par les forces combin�es depuis onze jours, ont v�cu leur premi�re nuit paisible avant-hier mardi apr�s plusieurs journ�es d�intenses bombardements qui ont cibl� les hordes sauvages de l�ex-GSPC terr�s dans cette r�gion fortement bois�e. Dans la journ�e de mardi, un calme plat r�gnait dans cette r�gion d�Amizour o� n�anmoins le m�me dispositif impressionnant de bouclage des lieux par les militaires est toujours maintenu, selon une source locale. Les frappes a�riennes ciblant les zones suspect�es d�abriter les criminels de l�ex-GSPC ont �galement cess� ce mercredi. Aucun coup de feu n�a �t� entendu, t�moignaient les citoyens de la localit�. Pour rappel, plusieurs terroristes auraient �t� �limin�s depuis le d�but de l�offensive militaire dont un ��mir� r�pondant au nom de Sohe�b et deux de ses lieutenants, selon de bonnes sources. Ces derni�res parlent aussi de la pr�sence de �cadres� importants dans la hi�rarchie terroriste dans les m�mes lieux o� un conclave de r�organisation de l�ex-GSPC affili� r�cemment � l�organisation internationale terroriste islamiste que dirige le sinistre Ben Laden aurait �t� observ� ces derniers jours. Pour rappel, un groupe de terroristes a attaqu� dans l�apr�s-midi de dimanche, vers les coups de 14 heures, un barrage de gendarmerie au lieudit El-Khroub � la sortie d�El-Kseur sur la RN 26 dans le but de desserer l��tau sur leurs acolytes herm�tiquement encercl�s sur les hauteurs bois�es de Merdj-Ouamane par les �l�ments de l�ANP. Par ailleurs, l�on a appris hier en fin d�apr�s-midi, que les �l�ments des forces combin�es, apr�s avoir pass� au peigne fin les maquis de Merdj-Ouamane, suspect�s d�abriter la n�buleuse cellule de l�ex-GSPC, ont d�cid� de �perquisitionner� � l�int�rieur des maisons limitrophes de la zone cibl�e, depuis onze jours. Des citoyens ont t�moign� que plusieurs habitations ont fait l�objet hier en fin de journ�e, pour le besoin de l�op�ration, de recherches minutieuses sur d��ventuelles caches d��l�ments du groupe terroriste, recherch�s lors de l�op�ration. L�ANP apr�s avoir d�frich� toute la zone o� se terraient les sanguinaires arm�s, sans visiblement trouver aucun �l�ment de ce groupe vivant ont soup�onn� lesdites habitations de �servir de refuges�.