Les vacances n'ont pas tenu toutes leurs promesses, surtout au chapitre des commodités qui devaient être garanties aux estivants. On s'en souvient qu'à l'inauguration tonitruante, sinon en grandes pompes de la saison estivale au titre de l'exercice 2015, l'accès aux plages et le droit au stationnement se devaient d'être gratuits. Or, ce n'était pas le cas ! Loin s'en faut du fait que les gardiens de parkings se sont enrichis une fois de plus sur le dos d'honnêtes citoyens en dépit d'une "mensongère" gratuité, qui n'avait pas été suivie par l'effet de répression de la part de l'autorité. C'est le cas des "parkingueurs" de Palm Beach, qui avaient racketté les juilletistes et les aoûtiens durant tout l'été. Une arnaque opérée de jour comme en fin de journée, sans que ces gros bras ne soient inquiétés outre mesure par l'autorité qui se devait pourtant d'être comptable de la quiétude des vacanciers. 200 DA ! C'était le prix convenu au gourdin et à la mine patibulaire des gardiens de parking ! Authentique ! Se voulant quelques fois menaçants, ces énergumènes vous riaient au nez si d'aventure le citoyen-lambda osait évoquer seulement une hypothétique gratuité de parking. Une gratuité qui n'existait en réalité qu'à l'entête d'un édit beylical au lieu que la mesure soit réelle et effective sur le terrain des engagements de l'autorité. C'est qu'ils ne s'en cachaient pas ces parkingueurs, qui rackettaient l'automobiliste qu'ils attendaient de pied ferme en fin de journée. C'est dire qu'une fois de plus, le citoyen a été cet éternel dindon de la farce que l'autorité avait livré pieds et poings liés à la rapacité de ces parkingueurs. L. N.