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HistoireS Etranges : Le massacre de Jonestown 2e partie
Publié dans Info Soir le 18 - 02 - 2016

Résumé de la 1re partie n Le révérend Jim Jones a poussé ses fidèles à se donner la mort en avalant un breuvage empoisonné. D'après les récits, les parents auraient d'abord fait boire la limonade aux enfants, avant de l'avaler eux-mêmes.
Il rencontrera même la future première dame des Etats-Unis. Cette aura lui permettra en outre d'obtenir d'avantage de fonds pour son Eglise du Temple du Peuple. Seulement, cette ascension suscite des interrogations, notamment auprès des journalistes, qui commencent à enquêter sur Jones. Des premières révélations font état de pratiques douteuses au sein de la communauté du Temple. On parle de jeux sexuels, de maltraitance et surtout de détournements de fonds. Jones aurait viré des sommes conséquentes sur des comptes bancaires internationaux dans des paradis fiscaux. On parle de centaines de milliers de dollars. Mais le soutien politique dont il jouit, lui permet de continuer d'administrer son église sans être inquiété. Pourtant Jones semble devenir de plus en plus paranoïaque face aux journalistes. Un climat malsain s'installe entre le révérend et les médias. Il ne veut plus que ses fidèles soient filmés ou interrogés. En 1977, suite à diverses révélations d'anciens membres et de journalistes, Jones est poursuivi en justice pour outrages aux mœurs et doit subir un contrôle fiscal. Il décide de fermer toutes ses églises en Californie et de partir au Guyana, où il a fait construire un village depuis 1973, qu'il définit comme la Communauté agricole du Temple du Peuple. Cette communauté est censée vivre en totale autarcie. Jones pense que le Guyana sera le seul endroit épargné par une éventuelle apocalypse nucléaire. Il exhorte ses fidèles à le suivre dans ce qu'il appelle une nouvelle vie de partage loin de ce pays qui ne veut plus d'eux. Ils sont près d'un millier de fidèles à suivre le révérend dans ce pays d'Amérique du Sud. C'est en plein cœur du Guyana à 60 kilomètres de la frontière du Venezuela que Jim Jones a construit son camp retranché. Il y installe une grande salle de prière, une cantine, une garderie et de nombreuses petites maisons que se partagent les fidèles. Jones est un homme intelligent et il va faire en sorte d'obtenir le soutien des autorités locales en leur faisant miroiter le bien-fondé de sa communauté. Il s'entoure également d'un avocat pour les questions juridiques. Il sait pertinemment qu'aucune extradition ne sera possible sans l'accord des autorités locales. En 1978 de nouvelles accusations fleurissent sur le Temple du Peuple. D'anciens membres de la secte qui ont quitté le Guyana parlent des conditions déplorables dans lesquelles ils ont vécu. Baraquements sordides et sales, travail incessant (jusqu'à 16 heures) pour de maigres rations, réveil brutal au milieu de la nuit pour écouter les sermons de Jones et surtout dictat du révérend. Les relations entre membres doivent avoir l'approbation de Jones. Les enfants doivent appeler le révérend Papa. 
A suivre


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