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14000 décès par an
Maladies cardiaques en algérie
Publié dans L'Expression le 26 - 11 - 2022

Considérées comme l'une des premières causes de mortalité en Algérie, les pathologies cardiaques imposent la mise en place de nouvelles mesures pour atténuer un taux de mortalité en perpétuelle augmentation.
Dans ce sillage le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abdelhak Saïhi, a déclaré dans son allocution lors des activités du vingt-sixième Congrès international de la Société algérienne de cardiologie, que « les maladies cardiaques sont actuellement la première cause de décès dans le monde et dans notre pays également, puisque nous enregistrons plus de 14 000 décès, annuellement en Algérie ».
Des chiffres alarmants qui nécessitent une approche plus efficace et plus approfondie sur l'évolution de cette pathologie, qui, au demeurant, se trouve à l'origine d'une mortalité prématurée incluant des cas où les sujets ne dépassent pas l'âge de la trentaine. À ce titre, Saïhi a souligné qu' « il est devenu nécessaire aujourd'hui d'accorder plus d'importance aux maladies cardiaques et artérielles et de mener une étude familière sur les facteurs qui les provoquent, notamment dans l'hypertension artérielle, le diabète, le tabagisme, l'hypercholestérolémie dans le sang, le manque de capacité physique l'activité physique, la prise de poids et le stress psychosocial ».Pour certains observateurs, cette situation nouvelle s'explique par l'état de stress permanent dû notamment aux conditions de travail et aux conditions familiales, le modèle alimentaire inadapté des Algériens, notamment à l'extérieur, l'obésité, le tabagisme qui touche hélas, 27% des Algériens. Cela étant, paradoxalement, l'Algérie détient les moyens et les technologies nécessaires pour traiter efficacement les maladies cardiaques, malheureusement cette capacité n'est pas disponible sur tout le territoire national. Une carence meurtrière du fait que ces pathologies, généralement nécessitent un traitement rapide pour éviter le pire. Or, sur le terrain, les malades issus de zones isolées et des régions enclavées, se trouvent dans 'l'obligation de se rapprocher des grandes villes, pour recevoir les soins et les traitements.une situation qui a généré une pression insurmontable sur les grands hôpitaux, se traduisant par une programmation de rendez-vous pour la prise en charge de malades, des plus précaires, et des plus conséquentes sur la vie des patients.
Un paradoxe qui ne devrait pas subsister, vu les nouvelles dispositions réservées au désenclavement des zones d'ombre. D''autant plus que les compétences algériennes dans ce domaine sont reconnues dans le monde entier, et peuvent contribuer à développer la formation de médecins algériens. Une voie qui nécessite la mise en place de moyens techniques et d'une politique efficiente, dont les résultats apparaitront sur le moyen et long terme.


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